La qualité de l’eau potable est une préoccupation majeure. Chez DIMM, spécialiste du traitement de l’eau, nous savons combien il est essentiel de disposer d’une eau saine et pure au quotidien, pour préserver votre santé et votre bien-être.
Chaque mois, nous vous donnons rendez-vous avec la revue de presse DIMM, votre nouvelle fenêtre sur l’univers du traitement de l’eau. Derrière les chiffres et les réglementations, il y a des enjeux concrets qui nous concernent tous : qualité de l’eau potable, innovations technologiques, nouveaux défis environnementaux et décisions politiques en France, en Belgique et en Europe. Notre mission : décrypter pour vous l’actualité, mettre en lumière les faits marquants, et partager les tendances qui façonnent dès aujourd’hui l’avenir de l’eau.
Dans les Ardennes, plusieurs élus locaux ont volontairement fait analyser leur sang afin de mesurer leur exposition aux PFAS, ces substances chimiques aussi appelées « polluants éternels ». Si tous s’attendaient à en retrouver, les résultats ont créé la surprise par l’ampleur des concentrations détectées.
Ces niveaux particulièrement élevés soulignent la gravité d’une pollution déjà documentée dans la région, où les PFAS sont présents dans l’eau, les sols et la chaîne alimentaire. L’affaire relance les inquiétudes sanitaires, car ces composés, utilisés dans l’industrie pour leurs propriétés antiadhésives et imperméabilisantes, s’accumulent dans l’organisme et sont suspectés d’avoir des effets néfastes sur la santé (fertilité, immunité, cancers).
Les élus réclament désormais une meilleure surveillance, des mesures correctives rapides, et une réglementation plus stricte au niveau national. Cette initiative citoyenne met en lumière l’urgence d’agir face à une contamination silencieuse qui touche potentiellement l’ensemble de la population locale.
Source : France 3 Régions – France Info : Pollution aux PFAS dans les Ardennes : des élus ont fait analyser leur sang, « on s’attendait à en avoir mais à ce taux, je suis surprise »
Une étude franco-italienne révèle qu’environ 140 tonnes de pesticides circulent chaque année dans l’atmosphère au-dessus de la France métropolitaine. Transportées par les vents après usage agricole, ces substances se condensent et retombent avec la pluie, contaminant l’eau bien au-delà des zones traitées.
Au total, 32 molécules ont été identifiées, dont certaines interdites depuis des années. Dans certains échantillons, les concentrations dépassaient même les seuils européens pour l’eau potable, illustrant la gravité de cette pollution invisible.
Les chercheurs alertent sur la nécessité d’une surveillance accrue, y compris des métabolites de pesticides interdits qui persistent dans l’environnement. Ces résultats soulignent l’urgence d’agir pour protéger la ressource en eau et la santé publique face à une contamination diffuse et persistante.
Source : France Info – Environnement : Jusqu’à 140 tonnes de pesticides retrouvées dans les nuages, avec des concentrations supérieures aux limites fixées par l’UE pour l’eau potable, révèle une étude
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